T'inquiète labelle, tu en as déjà vu bien d'autres de déloyauté et ce n'est qu'un jeu, je t’accompagnerais avec ceux qui veulent bien continuer avec nous et si nous restons les seules sincères sans arrières pensées, griefs et rancunes, qui finissent toujours par pourrir la conscience de notre moi et nous empêche d'évoluer vers le bonheur.
Nous ne pouvons oublier les années ou l'année passé tous ensemble chaque jour d'un revers de main, je souhaites aussi bonne chance et bonne paix à ceux qui partent vers d'autres horizons et qui resteront des amis quand nous nous rencontrerons dans les prairies herbeuses de dofus.
Dans dofus nous retrouverons bien d'autres belles personnes qui n'ont pas pas encore trouvé leur bonheur ailleurs et qui voudrons bien faire un bout de chemin et reconstruire l'alliance avec nous.
Pour chacun de nous le jeu, se fait, se défait et recommence, la roue tourne pour chacun, aujourd'hui n'est pas demain et nous recommencerons, du moment qu'il reste un lead qui continue à tenir les rennes, aidé, avec le potentiel de tout à chacun avec les moyens qu'il peut y mettre.
Le plus gros est déjà fait, nous n'avons plus qu'à repartir dans la joie et la bonne humeur.
J'espère que la haine destructive de certain de ce qu'ils ont aimé et rejette à présent, qui ne fait parti que de ce qu'ils ont loupé dans leur construction de leur moi, pourra les amener à continuer à se construire et non à la destruction.
Étape décisive dans la construction de l’enfant, la haine exprime une destructivité qui surmonte la résistance initiale à l’autonomie. Freud l’illustre par le Fort-Da où l’enfant exerce, puis dépasse sa pulsion d’emprise. Et D. W. Winnicott insiste sur le rôle crucial de la mère durant cette étape où la haine se retourne contre elle. Pour Freud comme pour D. W. Winnicott, la haine est à l’origine de la pensée : sans haine, pas de séparation ; et sans séparation, pas de construction du corps-psyché.